Cette vision très enrichissante peut nous apporter beaucoup. B. Kalaora ne cesse de « militer » pour cette intégration de l’art, de la science et de la technique dont son dernier livre essaye de se faire l’écho . En France, la pulsion gestionnaire et positiviste l’emporte sur les émotions, la sensibilité, les humanités étant considérées de plus en plus comme des facteurs secondaires.
Ce mémoire figure les exemples de performances et d’interventions esthétiques que vous pouvez visualiser sur internet.
Dans la même perspective est à signaler la parution du livre d’une philosophe américaine fort connue » Martha Nussbaum »: « Les émotions démocratiques, comment former le citoyen du XXI siècle » in édition climats. C’est aussi un cri d’alarme sur la » crise silencieuse qui frappe les démocraties du monde ».. ( pas seulement économique).. Et comme elle le dit « ce n’est pas à coup de débats d’idées abstraites, scientistes et positivistes que s’imposeront l’égalité et la liberté…. C’est en formant le citoyen par le biais des émotions démocratiques »… Belle réflexion pour la gouvernance du XXI siècle… et pour la GIZC !