VARIATIONS LITTORALES B.Kalaora (in Administration, N°230, »La France et son littoral »), 2011

Le littoral : une composition paysagère et patrimoniale.

 

L’action des pouvoirs publics dans le domaine de la protection de la nature et plus largement du littoral s’est forgée sur la base de qualificatifs valorisant le caractère distinctif des paysages et remarquable des espèces naturelles de la flore et de la faune. Ce regard propre à l’occident moderne est l’héritier d’une représentation esthétisante et naturaliste dont l’origine remonte au XVIIIe siècle et qui va trouver sa plénitude au XIXe. Le littoral n’échappe pas à ce registre même si son appréhension comme cadre paysager est plus tardive que celui de la montagne ou des « hauts lieux » de nature.  L’esthétisation du littoral participe à l’avènement du désir de rivages fort bien analysé par Alain Corbin dans son livre, « Le territoire du vide » (1988). L’artialisation (Roger, 1997) est le prélude à la patrimonialisation et l’aménagement des espaces naturels littoraux dont la DATAR se fera l’expression dès 1973. À cette date, elle commande une étude à un psychosociologue célèbre, Henry Raymond (1973), intitulée « Les significations sociales et culturelles des Français ». Il y montre l’importance du paysage dans la signification littorale.  La mer n’est pas, pour les résidents et estivants, la toile de fond de la scène littorale ; au contraire elle est la rampe qui met en valeur l’espace. En résulte une sémiologie de l’espace et de son organisation qui est structurée autour de deux dimensions clefs : l’accès et la vue. C’est depuis cette position de surplomb que s’ordonne pour l’usager la typologie du littoral : la mer, l’habitant, le pays arrière et l’arrière-pays. Le paysage doit être vu de la terre bien plus que vu de la mer et c’est le sens monumental qui fait que la mer est considérée comme ce que l’on doit voir, ce à quoi l’on doit accéder. Dans cette perspective, l’aménagement de l’espace littoral doit empêcher toute rupture visuelle entre le pays arrière (proche) et la mer pour garantir l’impression de naturalité et d’authenticité. La recherche s’adresse d’abord aux aménageurs :  il y aurait lieu de faire passer dans la géographie cette notion de paysage comme fonction sociale qui résulte des significations du littoral. On y gagnerait sur le plan de l’aménagement du territoire et de l’aménagement paysager une meilleure connaissance du cadre d’action, actuellement dépourvu de toute mesure, des programmes relatifs au littoral. Deux ans plus tard est créé le Conservatoire du Littoral par la DATAR qui s’inspire de ce tréfonds culturel. Acquérant les sites naturels les plus « remarquables » et « pittoresques » de la France et de l’outre-mer, il crée des unités géographiques foncières suffisamment cohérentes et homogènes pour éviter toute rupture visuelle, véritables balcons naturels qui ouvrent des perspectives pour l’œil sur la mer. Bien que la référence à l’écologie soit mentionnée, son usage est purement formel et restrictif, centré sur l’harmonie plus que sur les transformations dynamiques évolutives des écosystèmes en présence. Le littoral est perçu comme un cadre « naturel » stable dont il ne faut pas perturber les équilibres, l’homme et ses activités de production constituant une intrusion nuisible et prédatrice. Dans cette orientation, il est à la fois un tableau source de contemplation pour le spectateur et l’estivant et un lieu récréatif et de plaisir dont il revient au pouvoir public de contrôler les usages. Le rivage est vu comme un tableau immobile que l’on contemple par le cadre de la fenêtre ou d’un point de vue dominant, éliminant de l’horizon tout ce qui pourrait remémorer les activités productives faisant tache sur la composition, magnifiant à l’inverse les beaux monuments naturels du littoral.

Pour ce motif, la conservation sera d’abord focalisée sur les espaces terrestres et les façades littorales, excluant de son champ la mer et les interfaces entre littoral et océan. L’aménagement reste cependant légitime s’il se fait dans l’arrière-pays (distinct du pays arrière proche) à la condition toutefois que l’on privilégie des échelles où la vue et l’accès soient dégagés de toute occupation humaine. Cette codification du littoral puise ses sources au contact de l’art et du sentiment de la nature plus qu’à celles de l’écologie gestionnaire et de la biologie de la conservation où l’homme devient partie prenante du système. La crise environnementale et avec elle, l’émergence  progressive de nouveaux référentiels – ceux de la science, de l’expertise, de l’ingénierie écologique et de la responsabilité environnementale – conduisent depuis une dizaine d’années à renouveler  les cadres de l’expérience  et à transformer   le regard  sur le littoral, reléguant  au second plan les dimensions esthétiques et symboliques pour mettre en avant  les processus dynamiques du vivant  et les interactions entre terre et mer ( Kalaora, 2010)

 

Nouveaux enjeux et autres cadres cognitifs.

 

Les variations sur le littoral ont puisé à la multiplicité des registres pouvant s’agencer selon des configurations variées selon les contextes et périodes, jouant sur les différents codes en présence ; sublime, romantique, pittoresque, naturaliste, orientaliste. Ces codifications ont façonné notre regard et nos habitus. Le Conservatoire du Littoral est de ce point de vue le conservateur de notre imaginaire social du littoral par la mise en scène et l’« artialisation in visu et in situ. » ( Roger, 1988) des paysages littoraux . Falaises battues par les vagues, baies, vues sur mer, îles et dunes, roches et éboulis, galets, bancs de sable, calanques, havres, bocages, landes, chevaux et taureaux de Camargue, flamants roses et oiseaux migrateurs, moutons de prés-salés, schorres et vasières sont les lieux de mise en patrimoine (Fabiani, 1999). Cependant le faire valoir et le faire voir scotomisent les registres de l’action, de l’engagement ou de la responsabilité qui nourrissent l’émergence de la dynamique environnementale, son caractère global et holistique d’immersion, tout à fait spécifique (Charles et Kalaora, 2009). Le cadre cognitif en prise sur le loisir, attaché à une dimension scopique, évacue la dimension pragmatique, adaptative de l’action et de la réflexivité fondée sur le retour d’expérience et l’évaluation prospective. Cette nature perçue et pratiquée en pur divertissement, pour notre plaisir contemplatif ou pour celui des sens, rentre en tension avec la perspective environnementale.

Le littoral n’est plus synonyme d’insouciance et de liberté d’action mais de souci et d’inquiétude. Les enjeux contemporains sont désormais indissociables des problématiques environnementales et de leur prolongement par le développement durable. Les paysages y sont perçus comme des écosystèmes, lieux d’émergence de processus continus d’échanges entre l’homme et la nature, aux fortes résonances politiques et non plus seulement comme des tableaux de nature. L’extension des composantes à l’œuvre, écologique, sociale, sensible et affective mais aussi technique ou urbaine ont considérablement élargi les dimensions de l’appréhension du littoral. Les territoires littoraux et leur extension à la dimension marine deviennent le cœur des préoccupations sociales, écologiques et politiques, leur devenir dépendant dans une large mesure de l’intentionnalité et de la responsabilité humaine.

Le monde est désormais entre nos mains, mais il nous laisse démunis tant l’écart est grand entre ces nouveaux enjeux et les ressources cognitives et pratiques héritées de la modernité.  Dans la société du risque, la montée en puissance de la question de la biodiversité et de sa préservation, conséquence des menaces environnementales, nous expose à une réalité inédite par son ampleur comme par les registres auxquels elle renvoie, et donc à une ignorance maximisée. Il revient aux politiques de répondre à ce changement massif d’échelle et de créer les conditions éthiques dépassant les cadres strictement institutionnels ou esthétiques en vigueur, à travers un partage renouvelé avec les individus ordinaires, faisant de ces derniers de véritables parties prenantes de cette réalité émergente. En ce sens, la question littorale est appelée de façon croissante à relever d’une politique « pragmatique » (Charles, 2007) au terme de laquelle les acteurs se trouvent davantage en position d’affirmer leur expérience, d’assumer leur rôle, leur pouvoir et leur responsabilité et les institutions publiques d’en rendre possible la manifestation et l’expression. Le littoral et la mer, dans ces circonstances, apparaissent comme des catalyseurs d’échanges et de valeurs qui élèvent le niveau d’exigence démocratique et de justice. Ils en renouvellent le champ en en élargissant la base à des acteurs jusque-là ignorés, dans des dynamiques où la science, l’éthique et l’engagement constituent des ressources majeures face aux incertitudes et à la complexité. Le paradigme environnemental relève d’un ordre de discours différent de celui de la contemplation, le littoral et la mer y sont appréhendés par la médiation de la science au travers des processus biologiques évolutifs et des interactions entre les éléments terrestres et liquides.

Le paradigme environnemental renouvelle ainsi la « fabrique » du littoral et l’action des pouvoirs publics  autour de sémantiques  dont l’origine est propre à la tradition empirique et expérimentale  anglo-saxonne  et qui sont relativement éloignées de la culture rationaliste, jacobine et hiérarchique propre à la tradition française.Développement durable, gestion intégrée des zones côtières, gouvernance et approche participative et par projet, planification et stratégie intégrative terre et mer , benchmarking, management en réseau, autant de notions pragmatiques qui renouvellent  les représentations usuelles du littoral et qui introduisent de nouvelles règles du jeu et parties prenantes (les stakeholders). Européanisation, et globalisation sont aussi les facteurs qui transforment l’idée et la notion de littoral, le « global change » constitue de ce point de vue un bon exemple de concernement mondial des questions littorales et marines dont l’action ne peut plus se restreindre ou se limiter à celle d’une organisation, d’une nation ou d’une aire culturelle. Ces espaces entre terre et mer nous apparaissent aujourd’hui représenter un capital environnemental à forte valeur ajoutée, ils deviennent un enjeu de la sphère publique, ils mobilisent l’attention de la société civile et des politiques comme l’a montré tout dernièrement le Grenelle de la Mer. Les usages préconisés de ces territoires liquides sont ceux de la gestion intégrée des ressources et des écosystèmes ainsi que de la gouvernance stratégique de la mer et du littoral ( Henocque, Billé, 2009). Les normes correspondant à ces nouveaux intérêts relèvent de combinaisons multiples associant différents langages, environnementalistes, économiques, sociopolitiques et stratégiques. Ils se traduisent de manière opérationnelle par des mesures préconisant la conciliation entre développement et conservation. Le littoral n’est plus un objet inerte, réceptacle de nos désirs (bâtisseurs ou inversement protecteurs) mais le produit d’un cheminement, d’une construction résultant d’une suite d’ajustements entre un milieu, un espace, un sujet collectif. Ces ajustements sont le fait d’une multiplicité d’acteurs et d’institutions, ils relèvent de plusieurs échelles spatiales et temporelles, de niveaux d’organisation le plus souvent emboîtées qui vont du local au global. Le langage pour désigner ce territoire complexe semble lui-même faire défaut : peut-on encore parler de littoral ou de rivage, voire de zones côtières, termes qui connotent une appréhension terrestre du milieu alors que celui-ci est de plus en plus mobile, instable, incertain, à la fois mouillé et sec, aux limites floues et mouvantes ? La ligne de rivage nous apparaît bien lointaine et combien impropre à représenter les nouveaux enjeux environnementaux et de développement auxquels nous avons à faire face et le mouvement permanent des processus qui les concernent  (Desportes, 2005).

 

Expérience ordinaire de la nature et engagement esthétique. 

 

La dynamique environnementale met à mal les fondements culturels de la modernité qui reposent sur l’idée de séparation absolue entre nature et société. En postulant comme seule raisonnable la distribution universelle des humains et des non humains dans deux domaines ontologiques distincts, les sociétés industrielles sont très mal armées pour analyser ces nouveaux systèmes d’objectivation où la nature n’existe plus comme une réalité externe et désincarnée mais comme un attribut essentiel de l’espèce humaine et de son évolution. Les frontières de l’humanité ne s’arrêtent plus aux seules espèces humaines, elles englobent dorénavant d’autres individus, les plantes, les animaux, les récifs, les plus insignifiants des mollusques et des organismes qui participent au concert de la vie sociale. Nous prenons conscience, souvent à notre propre insu, que notre humanité s’inscrit dans un continuum au sein duquel les autres espèces ont leur place, relativisant ainsi notre singularité. La pensée dualiste propre à la cosmologie naturaliste de l’Occident moderne et conquérant dans la croyance en son universalisme, éprouve les plus grandes difficultés à maintenir les frontières entre la nature et le social (Descola, 2005). Partout les lignes de défense tombent laissant  place à de nouveaux êtres hybrides issus des processus d’interactions et d’interdépendances entre des domaines antérieurement séparés. L’environnement est à l’origine de ces décloisonnements et déplacements (Babou, 2011) entre des entités où la nature et le social s’interpénètrent dans un cycle systémique perpétuellement renouvelé (Philippe Roqueplo dès 1996, parle de « techno nature » pour designer la rencontre inédite entre l’homme et le climat). L’environnement nous oblige à intégrer la dynamique des systèmes naturels à la description du social. La « pensée complexe » (Morin, 1999) est celle qui relie, connecte, mettant en réseau ces objets hétérogènes et créant les infrastructures naturelles facilitant leur circulation et mobilité (trame bleu et verte, Natura 2000 etc.).

Toutes ces transformations cognitives ouvrent les voix d’un nouveau rapport au littoral qui présente cependant le risque de dériver vers des formes d’action de plus en plus technocratiques, fussent-elles écologiques, si elles sont détachées de l’expérience sensible. Un littoral dont les seuls référentiels seraient techniques et gestionnaires, même si ces derniers font l’objet de débats participatifs, est un espace dépouillé de son imaginaire. C’est pourquoi il convient de redonner sa place à l’imagination créatrice, mais à une imagination qui ne soit plus celle d’une esthétique du spectaculaire où l’homme surplombe par son regard dominateur une nature qui lui est extérieure. De nouvelles formes de médium artistique combinant éthique, science et usages sociaux font leur apparition et mobilisent une pluralité de sens dont le regard n’est qu’un des relais. Ces pratiques créatives s’inscrivent dans un espace environnemental et conduisent les artistes à sortir de leur réserve et à s’ouvrir à des univers différents, ceux de la science et de l’ingénierie écologique, ouvrant  ainsi au sein de collectifs impliquant les usagers des lieux (Baron-Yellès, 2000) L’expérience sensible environnementale s’appuie  alors sur le sens commun  et les pratiques quotidiennes. Ces pratiques instaurent un recadrage ; le langage des experts qui ne retient le plus souvent que celui des aspects factuels de l’action doit aussi prendre en compte l’expérience ordinaire et sensible médiatisée par l’artiste pour nous faire éprouver, par exemple, l’environnement mer et littoral dans toute sa complexité.

L’artiste devient une des figures centrales de la médiation, établissant par son activité un dialogue permanent entre les dires d’experts et les savoirs vernaculaires. Mobilisant le tact, la prudence et l’apprentissage et s’appuyant sur les propriétés naturelles, pour en multiplier les potentialités, l’artiste engagé nous invite à un voyage imaginaire et réflexif dont la finalité est de nous faire ressentir la nature ordinaire et son importance pour notre bien-être… Il « faut prendre soin de la nature ordinaire » comme l’indique Catherine Mougenot (2003), ce qui suppose bien des remises en cause : “C’est se confronter à des formes de gestion qui sont plurielles, voire contradictoires ; c’est entrer en contact avec un nombre accru de personnes, c’est prendre en compte leurs intérêts, leurs compétences, leurs affects et motivation et leur proposer de coopérer entre elles.” Ces expériences produisent un nouveau partage du sensible autour d’entités inédites construites par les interactions entre systèmes naturels et anthropiques initiant des formes plus complexes et élaborées de la nature que celles qui sont représentées par l’art du paysage et la mise en scène de grandeurs (Boltanski et Thévenot, 1991).  Dans cette perspective, les modes d’appréciation du littoral renvoient à une multiplicité de registres, l’art, la science, l’éthique. L’acteur principal n’est plus l’Etat ni ses relais, mais des sujets réflexifs et sensibles, capables selon les circonstances de se mobiliser et de participer à des projets d’environnement où développement et conservation sont profondément enchâssés. Le littoral n’y apparaît plus comme un absolu, sa représentation se construit dans l’action et l’accent est mis sur les dynamiques d’interaction entre humain et non humain, proche et lointain, passé et futur. L’esthétique environnementale devient alors une éthique de responsabilité qui vise à l’affirmation d’un souci à l’égard de milieux qui nous sont irremplaçables, qui comptent pour nous et dont nous supposons qu’ils compteront aussi pour les générations suivantes. Le jugement esthétique n’est plus un point de vue surplombant et distant mais un jugement pragmatique s’inscrivant dans le cours de l’action (Blanc, 2008). Il s’appuie à la fois sur les connaissances scientifiques en acte et sur l’expérience sensible des usagers, médiatisé par l’artiste et dont dépend la mobilisation d’un public enquêteur et vigilant soucieux du bien commun et de sa transmission.

 

Références

Baron-Yellès N. (2000).  Recréer la nature, écologie, paysage, société au marais d’Orx,  Éditions rue d’Ulm.

Blanc N., (2008). Ethique et esthétique de l’environnement, Paris, Espaces Temps net, Textuel.

Boltanski L., Thévenot L. (1991). De la justification. Les économies de la grandeur. Paris, Gallimard, NRF

Charles L. (2007). “Pragmatisme et environnement”, dans « Lolive J., Soubeyran O. (dir.), L’émergence des cosmopolitiques, Paris, La Découverte.

Charles L.,  Kalaora B. (2009). “Prégnance et limites d’une approche esthétique de l’environnement”, dans Le Paysage un projet politique, dir. Mario Bédard, Québec,  Presses Universitaires du Québec.

Corbin A. (1998). Le territoire du vide, l’occident et le désir du rivage, 1750-1840, Paris, Aubier, Coll. Historique.

Desportes M. ( 2005). Paysages en mouvement, Paris, Gallimard, NRF.

Fabiani J.-L. (1999). L’écologie de la restauration considérée comme mise en spectacle du patrimoine naturel, Les Carnets du Paysage, Actes Sud

Henocque Y. (2009). “Gestion intégrée du littoral : analyse des processus à l’oeuvre et mesure des progrès accomplis dans le cadre d’une approche incrémentielle de l’intégration” in Agir ensemble pour le Littoral, La documentation Française

Kalaora B. (2010). Rivages en devenir. Des horizons pour le Conservatoire du Littoral, Paris, La documentation Française

Morin E. (1990). Introduction à la Pensée Complexe, Paris, ESF Éditeur.

Mougenot C. (2003).  Prendre soin de la nature ordinaire, Paris, Editions de la MSH.

Raymond H. (1973). Les significations du littoral français, Paris : Délégation à l’aménagement du territoire et à l’action régionale (DATAR), Institut de recherches en architecture et urbanisme.

Roger A. (1997). Court Traité du Paysage, Paris, Gallimard. Roqueplo P. (1996). Entre savoir et décision, Paris, Editions INRA.

 

B. Kalaora, (Anthropologue, Conseiller scientifique du Conservatoire du Littoral, Président de Littocean), Administration, N°230, 2011

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